Image may be NSFW. Clik here to view. DIEUDONNÉ falsely accused by the Totalitarian French Jewish Zionist regime DE MERDE of "apology of terrorism" by misquoting him and twisting his words (they always do that!) and falsely accusing him of having said ! I am Coulibaly" instead of "I feel like Charlie-Coulibaly", which was instead a Message of Appeasement and Peace!!!
Amedy Coulibaly : ses étranges liens avec un producteur financé par l'ambassade américaine
Publié le par Jean Baptista
D'où provenait donc la fulgurante ascension d'Amedy Coulibaly qui, à la fin des années 2000, était passé en quelques mois du statut de prisonnier à Fleury-Merogis à celui d'invité de Nicolas Sarkozy à l'Elysée ? Cette question trouve un début de réponse lorsqu'on s'intéresse au parcours de celui qui était son aîné de quatre ans et qui a tout comme lui fréquenté le collège Jean Villar de Grigny : le "militant" associatif Omar Dawson. Sa propension pour les banlieues n'a pas laissé indifférentes les équipes de Nicolas Sarkozy et de l'Ambassade des Etats-Unis à Paris qui lui ont permis de s'imposer petit à petit comme un des leaders politique des quartiers français. Or, si Omar Dawson doit en partie son succès à Jeanette Bougrab et à l'ambassadeur Charles Rivkin, il le doit avant tout à Amedy Coulibaly, protagoniste de son film phare.L'échec de la réinsertion de ce dernier en 2008, n'est d'ailleurs pas sans rapport avec cette même politique à l'égard des banlieues: préférant le fantasme à la réalité, nos dirigeants se sont laissés séduire par un modèle d'action politique qui trouve son origine à Washington et qui loin d'apporter des solutions, n'a fait que provoquer des problèmes.
Invité le 21 janvier dernier sur le plateau de l'émission Arrêt sur images sur le thème "Charlie : Comment faire perdurer la bienveillance du 11 janvier ?", Omar Dawson s'est bien gardé d'évoquer sa relation avec l'un des protagonistes de l'affaire, à savoir Amedy Coulibaly. Même si les trajectoires des deux élèves du collège Jean Villar de Grigny sont diamétralement opposées, elles se sont recoupées à plusieurs occasions, non sans l'aide d'une politique de discrimination positive dont les attentats de Paris sont une indubitable conséquence.
En 2005, année au cours de laquelle Amedy Coulibalyfait la connaissance de Chérif Kouachi et Djamel Beghalà la prison de Fleury-Mérogis, les banlieues françaises s'embrasent. Grigny est, tout comme un nombre important de communes françaises, secouée par des émeutes urbaines au terme desquelles un débat public émerge pour tenter de comprendre la nature du malaise qui frappe les quartiers sensibles. A Washington, un mémo confidentiel envoyé par l'ambassadeur US à Paris Craig Roberts Stapleton analyse le problème des banlieues comme une des conséquences de "l'échec de la France blanche et chrétienne à considérer ses compatriotes à la peau sombre et musulmans comme des citoyens à part entière". Titrant son télex : "le modèle français d'intégration : parti en fumée ?", l'Ambassadeur incite Washington à s'intéresser davantage aux banlieues françaises et à y projeter son modèle sociétal. Dés lors, deux modèles vont s'y opposer : l'un, américain, est communautariste ; le second, français, se veut républicain et ne souhaite pas trop verser dans la discrimination positive.
En réponse au malaise des banlieues, le Premier Ministre Dominique de Villepin décide de débloquer un budget de 100 millions d'euros pour les associations dans les quartiers. L'un des premiers bénéficiaires en est Omar Dawson, auteur d'un DVD interactif de prévention, le jeune professeur d'anglais a créé l'association GrignyWood dont l'objectif est l'éducation à l'image et l'expression citoyenne. L'association a reçu 18 000 euros de la part du gouvernement français selon le journal de France 2 du 16 octobre 2006. Très impliqué dans les quartiers, en particulier à la Grande Borne à Grigny, Omar Dawson était aux premières loges des émeutes urbaines de 2005. Pour cette raison, il est interviewé par la BBC à l'occasion du premier anniversaire des évènements, et se présente publiquement en tant que citoyen britannique (son vrai nom est Siddi Omar Forbes Dawson). Il déclare alors qu'il ne "souhaitera jamais demander la nationalité française [préférant] être considéré comme un étranger que comme un citoyen de seconde zone". Pour quelle cause politique milite donc le citoyen britannique Omar Dawson en France ?
Youth worker, Grigny I have a British passport - as I was born in Britain. But when I go to the post office they always want to see my temporary residency permit. But I will never apply for French ...
Au même moment, la campagne présidentielle française bat son plein. Nicolas Sarkozy entend surfer sur la vague des émeutes de l'année précédente pour se faire élire et met volontairement en avant une campagne sur le thème de l'insécurité et de l'intégration des minorités. En pleine campagne, Omar Dawson interview le futur président qu'il se déclare prêt à soutenir s'il est lui-même prêt "à nettoyer le milieu politique et financier des voyous, de la racaille en col blanc", une déclaration singulière de la part d'un homme qui ne dispose pas de la nationalité française et qui ne peut donc pas voter. Il revoit néanmoins Nicolas Sarkozy une seconde fois, en Février 2007, cette fois au Ministère de l'intérieur où il est convié avec les membres de l'association Zy'va. Omar Dawson profite de cette invitation pour introduire discrètement une caméra dans les couloirs du Ministère et enregistrer le futur président à son insu. Ce dernier n'ayant pas ménagé ses propos sur la représentation des minorités dans le champ politique, les spectateurs peuvent se faire une opinion claire sur sa vision des choses.
Une fois élu, Nicolas Sarkozy dévoile son jeu politique pour les banlieues en nommant Fadela Amara (présidente de l'association Ni putes, ni soumises) au poste de Secrétaire d'Etat à la Politique de la Ville le 19 juin 2007. L'ambassadeur US Stapleton a lui aussi repéré Fadela Amara. Dans les mois qui suivent et notamment du fait de la position de la Secrétaire d'Etat sur l'Islam, l'ambassadeur envoie cette fois un télexà Washington pour proposer sa nomination pour l'International Women of Courage Award en 2008, une récompense du Département d'Etat américain destinée spécifiquement aux femmes (qu'elle n'a manifestement jamais reçue). Pour l'Ambassadeur Stapleton, la nomination de Fadela Amara permettrait de "signaler aux jeunes femmes des banlieues françaises que leur participiation dans la société est à la fois la bienvenue et nécessaire". Les actions des Etats-Unis pour séduire les quartiers sensibles vont vite occuper une place centrale dans l'activité de l'ambassade, celle-ci multipliant les initiatives culturelles et entrepreunariales à leur destination.
Nicolas Sarkozy, qui n'est d'ailleurs aucunement hermétique à la vision sociétale américaine, a de la suite dans les idées et charge l'année suivante Fadela Amara d'une mission héritée de cette vision : le Plan banlieue . Disposant d'une enveloppe de 500 millions d'euros, elle a en charge la refonte de la politique à l'égard des quartiers sensibles avec un volet conséquent sur l'emploi, Coca-Cola est une des premières entreprisesà intégrer le plan. Au même moment, Amedy Coulibaly est toujours en prison au centre pénitentier de Fleury-Mérogis où il a introduit illégalement et secrètement une caméra pour tourner les images d'un premier documentaire sur la situation dans les prisons françaises co-produit par Omar Dawson. La première mouture en a été diffusée quelques mois plus tard sur le site du quotidien Le Monde et aurait récolté un million de vues. Amedy Coulibaly sort de prison fin 2008 et obtient très vite un emploi à l'usine Coca-Cola de Grigny, bénéficiant manifestement d'un contrat de professionalisation dans le cadre du Plan Banlieue de Fadela Amaraet dont Coca-Cola revendique dans son rapport RSE 2008-2009 être un solide partenaire. Ceci explique sans doute l'invitation reçue par Amedy Coulibaly plusieurs mois plus tard à une réception organisée par l'Elysée sur le même thème.
L'opération du Plan Banlieue et de l'un de ses partenaires Coca-Cola est donc une réussite sur le plan de l'image, incarnant la joint-venture de l'american way of life et de la discrimination positiveà la française. Mais ce que tout le monde ignore à l'époque, c'est qu'en prison, Amedy Coulibaly se serait radicalisé au contact de Djamel Beghalet qu'une fois son contrat chez Coca-Cola arrivé à terme, Amedy Coulibaly ira lui rendre visite à sa résidence surveillée dans le Cantal. De son côté, Omar Dawson poursuit son travail associatif destiné à faire de la prévention dans les quartiers sensibles. Il co-produit avec l'Emission Envoyé Spécial une nouvelle mouture de son documentaire diffusée par France 2 en avril 2009, quelques jours avant la remise du rapport sur les prisons françaises du contrôleur général des lieux de privation de liberté, Jean-Marie Delarue. Un nouveau scandale éclate, cette fois à propos de la vetusté des prisons françaises et des conditions de vie qui y règnent. Le citoyen britannique Omar Dawson se lance donc dans un nouveau projet de prévention, Reality-Taule, consistant en l'écriture d'un livre éponyme avec son collaborateur karim bellazaar et de la réalisation d'un troisième montage des images tournées par Amedy Coulibaly. Destiné à être promu dans les banlieues, ce projet fait d'Amedy Coulibaly une icône de la prévention.
« à ceux qui feront tout pour ne jamais aller en prison et ceux qui feront tout pour ne jamais y retourner »
préface par Amedy Coulibaly du livre Reality-Taule.
Le Projet Rivkin
Le 2 octobre 2009, le nouvel ambassadeur américain Charles Rivkin atterit à Paris, avec dans ses valises le conseiller Mark Tavlin, un expert du Soft Power ayant déjà exercé pendant la révolution colorée ukrainienne. Les deux hommes vont redoubler d'effort pour s'ingérer dans la vie des banlieues françaises, ce que Charles Rivkin va d'ailleurs annoncer comme une politique générale dans un télex envoyé à Barack Obama le 19 janvier 2010. Deux jours plus tard, le 21 janvier, c'est l'entrée en scène de Jeannette Bougrab. Elle est nommée par Nicolas Sarkozy au poste de présidente de l'Acsé (Agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances) avant qu'elle n'obtienne une seconde casquette de présidente de la HALDE (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité) le 23 mars 2010. Par ces nouvelles fonctions dans le "secteur de la diversité", Jeannette Bougrab se rapproche de l'ambassadeur Rivkin, se rendant notamment à la réception organisée pour l'Iftar (rupture quotidienne du jeûne du Ramadan) par l'ambassade américaine à Paris en juin 2010 . Quant à L'Acsé, qu'elle préside, elle offre un financement à Omar Dawson pour son projet Reality-Taule hérité du travail de Coulibaly en prison : des projections sont organisées dans les banlieues françaises. Mais les "affaires" ne s'arrêtent pas là pour Omar Dawson: l'ambassade américaine imite l'Acsé et lui verse 5000 dollars pour la réalisation d'un dessin animé par son association GrignyWood. Lui qui "apprécie travailler avec l'ambassade américaine" selon BFM a également l'opportunité de rencontrer Woody Allen par l'intermédiaire de l'ambassadeur Charles Rivkin.
Iftar Reception, September 1, 2010 Jeannette Bougrab, President of both the high Authority Against Discrimination and for Equal Opportunity (HALDE) and the National Public Community Development entity (ACSE)with Ambassador Rivkin and Ms. Tolson, Photo DOS
Mais voilà qu'en décembre 2010, le fameux télex de l'ambassadeur Rivkin exposant son plan pour les banlieues françaises à Obama, est révélé par Wikileaks et publié dans la foulée par le journal Le Monde. Or les projets de Rivkin pour les banlieues sont loin de faire l'unanimité au sein du gouvernement français comme l'indique le rapport la France sait-elle encore intégrer les immigrés ? remis en avril 2011 par le Haut conseil à l'intégration. Le rapport s'étonne notamment que malgré la prise de connaissance des intentions de Rivkin, le programme expérimental Jeunes ambassadeurs financé conjointement par l'ambassade des Etats-Unis et l'ACSE ait été reconduit en 2011. Ceci est une mise en cause directe de sa dirigeante: Jeannette Bougrab, ce qui ne l'empêchera pas quelques semaines plus tard de se rendre en compagnie de Rivkin à une rencontre entre le rappeur Will I.Am (leader des Black Eyed Peas) et les jeunes du vingtième arrondissement de Paris.
L'ambassade américaine à Paris, forte de ses réseaux sur place et des relations personnelles de Charles Rivkin avec des stars (Woody Allen, Samuel Jackson, etc.) est parvenu à s'ancrer dans les quartiers français. De même, elle est devenu un solide partenaire de l'entreprise Coca-Cola dans ces même quartiers, lui remettant à deux reprises des disctinctions pour son travail dans les quartiers. Pourtant, l'entreprise avec l'aide du Plan Banlieuede Fadela Amara et Nicolas Sarkozyavait échoué dans la réinsertion d'Amedy Coulibaly. Ce dernier est en partie le produit d'une politique d'intégration aveugle et motivée par des intérêts électoraux à court terme, le tout conjugué à la politique étrangère des Etats-Unis en France qui s'apparente purement à de l'ingérence politique.
Il est néanmoins étonnant que, se présentant constamment comme à la pointe de la lutte contre le terrorisme, les Etats-Unis aient ignorés qu'Amedy Coulibaly, qui était depuis une durée indéterminée sur la liste des terroristes présumés de la CIA, était également le collaborateur du sujet de la couronne britannique Omar Dawson, ce dernier reçevant les généreux subsides de Washington. D'autant plus que l'ambassadeur Rivkin, de par sa proximité avec Omar Dawson, était seulement à une relation d'Amedy Coulibaly et à deux de son mentor Djamel Beghal, arrêté en 2001 pour avoir projeté un attentat contre l'ambassade américaine à Paris.
Dieudonné sera jugé mercredi pour «apologie du terrorisme»Image may be NSFW. Clik here to view.
Le polémiste avait posté sur Facebook un message se terminant par « Je me sens Charlie Coulibaly », après les attentats de début janvier à Paris. Son avocat, qui juge l'infraction infondée, plaide la relaxe.
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«Je me sens Charlie Coulibaly»: pour ces cinq mots provocateurs, postés sur sa page Facebook le soir de la marche républicaine du 11 janvier, qui avaient suivi les attentats contre Charlie Hebdo et l'Hyper Cacher de la Porte de Vincennes, le polémiste Dieudonné sera jugé mercredi. Dans ce message, l'humoriste controversé assurait avoir participé à la manifestation, mais la tournait en dérision en la qualifiant d'«instant magique égal au Big Bang qui créa l'Univers». «Sachez que ce soir, en ce qui me concerne, je me sens Charlie Coulibaly» ajoutait-il, associant le slogan de soutien au journal satirique, «Je suis Charlie», au nom d'Amédy Coulibaly, le preneur d'otages qui a notamment tué quatre juifs dans un supermarché casher.
Image may be NSFW. Clik here to view. Cette provocation de plus, arrivée en plein moment d'unité nationale, avait exaspéré jusqu'au sommet de l'Etat, et le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait en personne exigé des poursuites. Le message avait été rétiré suite à l'indignation générale, mais trois jours plus tard, après une convocation restée sans réponse, Dieudonné était placé en garde à vue. A l'issue de celle-ci, le parquet décidait de le convoquer devant le tribunal correctionnel de Paris. Il sera jugé mercredi par la chambre 16-2, spécialisée dans les délits de terrorisme, au lieu de la 17ème, habituée des délits de presse et qui a pour habitude de traiter l'apologie du terrorisme. «Depuis un an je suis traité comme l'ennemi public numéro un, alors que je ne cherche qu'à faire rire. On me considère comme un Amedy Coulibaly», avait expliqué l'humoriste controversé pour expliquer sa blague douteuse.
Une infraction «infondée» pour son avocat
Dieudonné connaît de multiples démêlés avec la justice. La semaine dernière, le parquet a requis une lourde amende de 30.000 euros contre lui pour des propos jugés antisémites qui avaient débouché fin 2013 - début 2014 sur l'interdiction de plusieurs représentations de son spectacle «Le mur». Déjà condamné neuf fois en une dizaine d'années pour incitation à la haine, il est également jugé ce mardi à Paris pour avoir qualifié dans une vidéo fin août 2013 Manuel Valls, alors ministre de l'Intérieur, de «Mussolini moitié trisomique». Pour cette injure contre le premier ministre, le parquet a requis 4000 euros d'amende. Manuel Valls, qualifié également de «brèle», «de petit soldat israélien veule et docile» avait demandé un euro symbolique de dommages et intérêts.
Concernant l'affaire d'«apologie du terrorisme» pour laquelle il comparaîtra mercredi, son avocat Maitre Mirabeau se dit plutôt confiant. Selon lui, l'infraction n'est pas fondée, et il plaidera la relaxe. «Il faut se lever tôt pour affirmer qu'en collant deux noms, Charlie et Coulibaly, on fait l'apologie du terrorisme», déclare-t-il au Figaro.fr. «Ce n'est même plus de l'acharnement, c'est un dossier qui est en permanence sur le dossier du premier ministre», dénonce-t-il, ajoutant que son client «avait retiré ses propos parce qu'il a senti qu'il avait pu blesser et n'avait pas été compris.»
Ce n'est pas la première fois que Dieudonné est mise en cause pour «apologie de terrorisme». En septembre dernier une enquête avait été lancée sur ce motif après que l'humoriste ait publié une vidéo intitulée «Feu Foley», où il raillait la mort du journaliste américain décapité par l'Etat islamique. «La décapitation symbolise le progrès, l'accès à la civilisation», avait-il ironisé. L'enquête, toujours en cours, n'a pour l'instant pas débouché sur une mise en examen.
41 comparutions immédiates pour apologie du terrorisme
Après les attentats, la ministre de la Justice, Christiane Taubira, avait donné instruction au parquet de faire preuve de «réactivité» et de «fermeté» envers les auteurs d'«apologie du terrorisme» ou de «propos et agissements racistes ou antisémites». Et de fait, les affaires ont été nombreuses, 486 au total (chiffres de la chancellerie au 29 janvier) liées aux attentats: atteintes aux personnes ou aux biens, droit de la presse ou apologie et provocation. Pour cette dernière catégorie, 257 affaires ont été enregistrées dont 161 non liées à d'autres infractions (alcool, drogue, outrage, délits routiers...). Sur ces 161 infractions «pures», il y a eu 41 comparutions immédiates et 18 peines de prison ferme. Certaines voix se sont inquiétées d'une possible dérive dictée par l'émotion, comme la semaine dernière avec l'audition par la police à Nice d'un enfant de huit ans qui avait refusé de participer à une minute de silence à l'école primaire.
Le délit d'apologie du terrorisme peut être puni d'une peine allant jusqu'à cinq ans de prison et 75.000 euros d'amende. Elle peut être portée à sept ans et 100.000 euros si les faits ont été commis en utilisant un service de communication au public en ligne.
"Je me sens Charlie Coulibaly" : 30.000 euros requis contre Dieudonné
Dieudonné s’est rendu au tribunal correctionnel de Paris afin de répondre des accusations d’« apologie du terrorisme » suite aux plaintes d’associations qui se sont constituées parties civiles.
L’humoriste avait posté sur Facebook le 11 janvier : « Sachez que ce soir, en ce qui me concerne, je me sens Charlie Coulibaly » et qualifié les manifestations organisées contre le terrorisme d’« instant magique égal au Big Bang qui créa l’Univers ». Ce message, qui n’est resté que trois jours en ligne, a été présenté par les plaignants comme un « soutien sans ambiguïté au terrorisme antijuif ». Face à la 16e chambre, il s’est expliqué sur la phrase polémique : « C’était une expression qui était en gestation dans ma recherche de paix. » Il a déclaré : « Bien évidemment je condamne sans aucune retenue et sans aucune ambiguïté les attentats », et indiqué avoir voulu participer à la marche parisienne de soutien aux victimes du terrorisme mais n’avoir reçu aucune réponse du ministère de l’Intérieur, que ses avocats avaient sollicité. Dieudonné s’était finalement rendu à une manifestation près de son domicile :
« J’ai senti beaucoup d’émotion ce jour-là. Je me sens Charlie évidemment. Je me suis senti concerné par cette marche et exclu par les services de police de cette marche. Je me sens traité comme un terroriste. Je suis traqué dans chacune de mes répliques. »
Dieudonné encourait sept ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amende. Ses déclarations n’ont pas convaincu le procureur Annabelle Philippe (qui avait réclamé de la prison contre Alain Soral dans le procès l’opposant à Frédéric Haziza en octobre 2014), qui a parlé de « phrase volontairement ambiguë » et a ajouté :
« Il sait qu’il va créer le buzz [...] et il sait pertinemment comment il va être reçu. Il sait parfaitement jouer des mots, c’est son métier. Il tient des propos qui sont toujours volontairement provocateurs et toujours faussement ambigus. C’est un multirécidiviste des abus de la liberté d’expression. »
Elle a requis 200 jours-amende à 150 euros, soit 30 000 euros, contre le comique. S’il ne paye pas ces sommes, elles seront transformées en une période d’incarcération. L’audience a été mise en délibéré ; la décision sera rendue le 18 mars.
Cazeneuve : "on ne combat pas le terrorisme sans régulation d'Internet"
Le ministre de l'intérieur Bernard Cazeneuve a expliqué mercredi qu'il était devenu inconcevable de faire la guerre au terrorisme sans passer par une régulation renforcée sur Internet.
Après avoir présenté ce mercredi en Conseil des ministres le décret qui doit instaurer la censure de sites internet sur simple ordre administratif, qui sera publié dans les prochains jours ou les toutes prochaines semaines, le ministre de l'intérieur Bernard Cazeneuve a de nouveau défendu cette mesure très contestable, issue de la loi anti-terrorisme de novembre 2014.
Le dispositif oblige les FAI à bloquer dans les 24 heures l'ensemble des sites dont la liste est dressée par les services de la Place Beauvau, sous le seul contrôle confidentiel d'une personnalité issue de la CNIL. Par rapport à la loi qui n'en faisant pas mention, le décret ajoute tout de même un mécanisme permettant d'exercer un recours a posteriori en cas de blocage abusif. Déjà critiqué, le dispositif devrait être bientôt étendu à de nouvelles catégories de propos, dont la qualification pénale ne sera plus laissée à un juge indépendant.
"On ne combattra pas le terrorisme si on ne prend pas des mesures de régulation d’Internet qui ne sont pas là pour attenter aux libertés d’expression, mais qui sont là simplement pour faire en sorte que l’appel au terrorisme, la provocation au terrorisme qui peut avoir un impact sur des esprits vulnérables soit arrêtée et maîtrisée", a expliqué mercredi Bernard Cazeneuve.
Mardi soir, à l'occasion d'une déclaration sur la neutralisation d'une filière djihadiste, le ministre de l'intérieur a confirmé qu'il se rendrait fin février aux Etats-Unis, non seulement pour rencontrer ses homologues américains, mais aussi "les grands opérateurs du Net comme Google, Facebook, Twitter, Microsoft". L'objectif sera de "les inciter vivement à rejoindre notre combat contre la propagande terroriste sur le Net et les réseaux sociaux", ce qu'il avait déjà annoncé dès le 14 janvier.
Au moment où la France et l'occident n'hésitent plus à parler de guerre contre l'Etat Islamique et les djihadistes de toute obédience, les géants du web américains sont invités à faire preuve de patriotisme et à participer à l'effort de contre-propagande qui sied à tout conflit armé. La semaine dernière, le Gouvernement français a lancé son site anti-djihad, et payé Google pour qu'il soit mis en avant dans les résultats de recherche.
Image may be NSFW. Clik here to view. Above we see Teresa May, Britain's Home Secretary, holding up a poster saying "I am a Jew." Teresa May is the cabinet minister responsible for the security service MI5, the police and the inquiry into child sexual abuse.
The people responsible for investigating the UK child abuse rings are somewhat suspect?
The UK Member of Parliament Keith Vaz was once a solicitor working for the notorious local government councils in Richmond and Islington.
Both these councils were reportedly deeply involved in child abuse.
The Home Affairs Select Committee has been hearing evidence from victims of child abuse.
The Home Affairs Select Committee has published documents on its website without blanking out the names of the child abuse victims
The child abuse victims have now received death threats.
Were the details of the victims deliberately leaked?
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Keith Vaz is best friends with Stephen Purdew. Vaz attended Stephen Purdew's wedding along with Purdew's very good friend Jimmy Savile. www.ukcolumn.org.
Reportedly, one child abuse victim and his young daughter have already been approached by a convicted abuser after their details were published.
The UK government is supposed to be going to hold a large child abuse inquiry.
Sharon Evans is a child abuse survivor, and a member of the child abuse inquiry panel.
Recently she was 'bullied' by the inquiry's most senior legal adviser, Ben Emmerson QC.
For example, Detective Constable Jeffrey Davies sexually assaulted victims of abuse that he was supposed to be looking after.
Northumbria police constable Stephen Mitchell sexually abused a disabled teenager.
In the 12 months to March 2014, 406 officers and police staff were investigated for sexual misconduct.
One in six were allowed to retire or resign and around 40 per cent of cases led to no further action.
A secret report prepared by the Serious Organised Crime Agency says that more police officers are involved in selling drugs such as heroin.
Image may be NSFW. Clik here to view. Greville Janner.
Keith Vaz is the Member of Parliament for Leicester East.
Greville Janner was the Member of Parliament for Leicester West.
There is a belief that many of Britain's top people are controlled by pedophile rings run by the CIA, Mossad and MI5.
In the 1990s, Labour Member of the UK Parliament Andrew Faulds was in possession of a leaflet entitled 'Concerned Leicester Parents' and a booklet on 'How people in high places covered-up for a Parliamentary paedophile'.
The documents describe 'allegations of sexual abuse against a child' by the Labour Party's Greville Janner (above photo).
Lord Janner was Member of Parliament for Leicester West, he was president of the Board of Deputies of British Jews, he is vice-president of the World Jewish Congress and he is friend of the CIA's Yuri Geller.
In 1991, Frank Beck, who worked at the Leicester homes, was found guilty of 17 counts of sexual abuse of children in his care.
Beck argued that he was being prosecuted to divert attention from Janner and other very top child abusers.
Beck died mysteriously in prison in 1994.
At Beck's trial, four witnesses gave evidence that Greville Janner had pursued a sexual relationship with a teenage boy who lived at one of Beck's care homes.
The teenage 'victim', speaking under oath, said that Janner had sexually abused him repeatedly between the ages of 13 and 15.
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A dossier on the 'Establishment paedophile ring', handed to the then Home Secretary Leon Brittan in 1983, went missing.
At his trial, Beck stated that: "One child has been buggered and abused for two solid years by Greville Janner".
Shortly afterwards, the notorious Director of Public Prosecutions, Alan Green, said that "for lack of evidence" Janner would not be prosecuted.
Janner was alleged to have been acquainted with a young boy called Paul Winston.
Paul Winston, who was thirteen when he and Janner first met, was able to describe Janner's home, the hotel rooms they had shared, and Janner's habits and person in detail.
Soon after the non-prosecutuion of Janner, The Director of Public Prosecutions, Alan Green, was arrested for 'kerb-crawling' in Kings Cross.
Image may be NSFW. Clik here to view. Uri Geller and Lord Greville Janner, former President of the Board of British Jews, vice president of the World Jewish Congress, and member of the Boy Scouts Association.Greville Janner, VIP child abuse, mysterious death
In court, Paul Winston, who was an adult at the time of Frank Beck’s trial, stood up for Frank Beck.
Several other witnesses also supported Beck and confirmed his anti-Janner testimony.
Paul Winston said that Beck had counselled him over his relationship with Janner, and had brought the affair to an end.
Paul Winston gave evidence that he had been invited to Janner’s home and had slept with Janner.
Paul Winston testified that, over the next two years, he was regularly sodomised by Janner.
Pope Paul VI was a Marrano Jew with the name Montini.
Under Paul VI, Jewish and Freemason influence increased within the Catholic church.
Pope Gregory VI and Pope Gregor VII had Jewish origins. (Jewish popearticle); Anacletus II, was a descendant of Baruch, a Jewish convert. The Borgias and their Popes had Jewish origins. Other Popes (Cached) who were of Jewish origin include: Callistus III, Alexander VI, Pius III, Leo X, Clement VII, Paul III, St. Pius V, Gregory XIII, Pius XII (1939-1958)...
The following have been members of the Knights of Malta or have been awarded high honours by the Knights of Malta:
David Rockefeller, Reinhard Gehlen (Nazi), Heinrich Himmler, Franz von Papen (Hitler enabler) Fritz Thyssen (Hitler’s financier), George W. Bush, George Tenet (CIA chief at the time of 9 11) Henry Kissinger, Michael Chertoff, Rupert Murdoch, Tony Blair, Prescott Bush, Licio Gelli, J. Edgar Hoover, Joseph Kennedy, Ronald E. Reagan, Giscard d’Estaing, Allen Dulles, Oliver North, George H.W Bush and William Casey.
Image may be NSFW. Clik here to view. David Beckham Among the 'Jews' who have recently been controlling the World are:
1. Jack Lew, United States Secretary of the Treasury, 2. Janet Yellen, Chair of the Board of Governors of the Federal Reserve System 3. the Rothschilds 4. George Soros 5. Ayman al Zawahiri andOsama bin Laden (crypto-Jews) 6. King Abdullah of Saudi Arabia (crypto-Jew) 7. Adolf Hitler (Hitler's paternal grandfather was a Jewish merchant, Leopold Frankenberger. HITLER) and Joseph Stalin
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The former NSA and CIA agent Edward Snowden revealed that the leader of ISIS, the Islamic State of Iraq and Syria, Abu Bakr Al Baghdadi was trained in Israel.
Jesus said to the Jews:
"You belong to your father, the devil, and you want to carry out your father’s desires. He was a murderer from the beginning... he is a liar and the father of lies."
Reportedly, the Apostle Paul was a "Jewish agent" who infiltrated Christianity to make sure it was controlled by the Jews. [8]
An Iraqi intelligence report, dated 2002, and released in 2008 by the US Defense Intelligence Agency, points to the Jewish roots of the Wahhabi (Islamist) form of Islam.
The purpose of the Wahhabi sect was to create extremist Moslems and pave the way for a Jewish state in Palestine.
In his book, 'The Dönmeh Jews', D. Mustafa Turan writes that Muhammad ibn Abdul Wahhab's grandfather, Tjen Sulayman, was actually Tjen Shulman, a member of the Jewish community of Basra, Iraq.
Abdul Wahhab Ibrahim al-Shammari’s book, 'The Wahhabi Movement: The Truth and Roots', states that King Abdul Aziz Ibn Saud, the first Saudi monarch, was descended from Mordechai bin Ibrahim bin Moishe, a Jewish merchant from Basra.
In Said Nasir’s book,'The History of the Saud Family', it is maintained that in 1943, the Saudi ambassador to Egypt, Abdullah bin Ibrahim al Muffadal, paid Muhammad al Tamami to forge a family tree showing that the Sauds and Wahhabs were one family that descended directly from the Prophet Mohammed.
Image may be NSFW. Clik here to view. The Turkish Ottoman Empire, which gradually shrank in size.
At the start of World War I, a Jewish British officer, David Shakespeare, met with Ibn Saud, who was to become the first Saudi monarch.
In 1932, the British put Ibn Saud into power as King of Saudi Arabia.
The deal to set up Israel had the backing of the Turkish leader Kemal Ataturk, who was reportedly a crypto-Jew.
The Sauds made Wahhabism the state religion of Saudi Arabia.
MI6 and the CIA put the Ayatollahs into power in Iran.
According to this Obituary of the Ayatollah Khalkhali, in The Telegraph:
"Some of Khalkhali's victims were no more than children.
"When a 14-year-old boy he had had executed turned out to be innocent, Khalkhali remarked that the child was not on his conscience because he had 'sent him to heaven'.
"His critics maintained that in his early life Khalkhali had spent time in a mental institution for torturing cats; it was said that strangling cats remained one of his favourite pastimes."
"Gallows were hitched up in main Tehran streets and sometimes as many as eight people were hanged at the same time. In the mayhem that ensued, the age of treason was lowered and children as young as nine were 'executed'.
"Within a couple of months over 8000 people had been killed."
JOHN CALVIN (1509–1564) was Jewish, gay and a sadist.
Jerome Bolsec in 'Vie de Calvin', 1577, explained that Calvin frequently engaged in gay sex.
John Calvin became the religious boss of Geneva in Switzerland.
"Under his rule Geneva, formerly so gay, became like a city of death, where all citizens went about as if in mourning." (Progress of Calvinism - In Switzerland.)
Calvin's followers burned 58 people for heresy.
Christopher Hitchens writes (Christopher Hitchens - God Is Not Great: How Religion Poisons ...) that "Calvin's Geneva was a prototypical totalitarian state, and Calvin himself a sadist and torturer and killer, who burned Servetus (one of the great thinkers and questioners of the day) while the man was still alive."
Calvin’s real name was Cohen.
At the B’nai B’rith celebrations held in Paris, France, in 1936, Calvin, was enthusiastically acclaimed to have been of Jewish descent.
According to Dr John Coleman: "The Jewish Cecil family ... had controlled the British monarchy since a Cecil became the private secretary and lover of Queen Elizabeth."
The UK's Archibald Ramsay was an opponent the alleged Jewish campaign for world domination.
According to Archibald Ramsay, in his 1952 book "The Nameless War,"Oliver Cromwell acted as a paid agent of certain Jews who conspired with him to topple King Charles II.
"As usurers ... they had gained a strangle-hold on the recently founded monastic houses whose splendid buildings they had financed, and on many of the smaller aristocratic families..."
Winston Churchill's mother was Jewish. ‘Cunning, no doubt, came to Churchill in the Jewish genes transmitted by his mother Lady Randolph Churchill , née Jenny Jacobson/Jerome.’ - Moshe Kohn, Jerusalem Post.
Famous British Jews include:
Dominic Lawson (said to be linked to MI6 and Princess Diana)
Image may be NSFW. Clik here to view. Pat Robertson, who has been linked to the CIA and the diamonds used to finance al Qaeda. Most of the big-name Christian leaders, such as Pat Robertson, Billy Graham and Gerry Falwell, appear to work for Mossad (and the CIA).
Image may be NSFW. Clik here to view. Jerry Falwell, linked to the CIA and 9 11.
Most of the key Islamist leaders appear to work for Mossad and the CIA.
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Yousef al-Khattab (above) is actually Joseph Leonard Cohen
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Morten Storm (above) is the CIA and MI5 agent from Denmark used by the CIA and MI5 to finance Ikirma, aka Abdukadir Mohamed Abdukadir, the so-called 'Kenya Mall attack mastermind'.
The horribly spooky Mrutyuanjai Mishra writes for Politiken, Denmark's largest newspaper, and for newspapers such as The Times of India, and he also appears on TV.
Mrutyuanjai Mishra recently wrote an article that could have been scripted by Mossad.
"One wonders why people would leave their safe environment in Europe and move permanently to a country where they cannot be sure if a rocket lands on their rooftop...
"The Jewish diaspora feels safer in Israel than in Paris...
"As long as anti-Semitism and hatred against Jews persists, it will automatically provoke migration of Jews out of European cities..."
We can assume that he works for Mossad and the CIA.
Image may be NSFW. Clik here to view. Omar al-Faruq
Omar Al-Faruq was described as being the mastermind of the Bali bomb plot.
Al-Faruq was arrested in Bogor on June 5, 2002 and handed over to the US authorities.
Former Indonesian State Intelligence Coordinating Board (BAKIN) chief A.C. Manulang was quoted by Tempo as saying that Al-Faruq was most likely a CIA-recruited agent.
After Aswat was handed over to the UK police, Scotland Yard police headquarters said, on 7 August 2005, that detectives were not interested in speaking to Aswat about the London attacks.
His brother Zaiman al-Zawahiri fought for the CIA in Kosovo.
Ayman al Zawahiri was involved in the Luxor massacre.
According to January 2000 U.S. Congressional testimony, Ayman al-Zawahiri was granted U.S. residence by the Immigration and Naturalization Service.
One of the centres of operation for al-Zawahiri was London.
President Mubarak, after the Luxor massacre, stated: "There are people who carried out crimes and who were sentenced (in Egypt) and live on British soil." (aangirfan: Zawahiri)
Fox News says it has documents revealing how Anwar Al-Awlaki, a top man in al Qaeda, met high-ranking US military personnel just months after the 9 11 atrocities.
According to the documents, Awlaki was taken to the U.S. Department of Defense's headquarters, to have lunch, in the immediate aftermath of the 9 11 attacks.
Image may be NSFW. Clik here to view. The Koran is based on the Jewish religion. And this guy is an actor.
Image may be NSFW. Clik here to view. Moslems originally bowed towards Jerusalem. Not much has changed.
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Gaza. This is what the Jews are doing.
Jesus said to the Jews:
"You belong to your father, the devil, and you want to carry out your father’s desires. He was a murderer from the beginning... he is a liar and the father of lies." Any 'Friend of Israel' is a friend of the Devil.
Image may be NSFW. Clik here to view. Gaza, July 2014. How do the top Jews get away with murdering so many people?
The American public does not get to see what is really going on, because the media is controlled by the Jews.
Current French president F.Hollande has Jewish roots, as well as former president N.Sarkozy.
English prime minister D.Cameron has Jewish roots (his ancestors were German Jews) and even
B.Obama has Jewish roots on his mother's side.
Former American president F.D.Roosevelt had Jewish roots - his real family name was Rosenfelt, a Dutch Jew, so did communist dictator Josef David Dzugaszwili "Stalin" as well as nazi dictator A.Hitler and his surrounding ministers and generals.
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